Démographie et habitat

Tous acteurs de notre « Bien Vivre Ensemble »

Publié le

Chères Martipontaines,
Chers Martipontains

Notre commune « qui bouge » se transforme et se modernise au fil des ans. Vous trouverez dans le dossier du mois les indicateurs statistiques qui objectivent cette évolution qui se caractérise par l’apparition de nouveaux logements et de nouveaux quartiers comme le Moulin Olive ou les Jardins du Bourg à Viais.
Cette croissance démographique au service de la dynamique de notre territoire est aussi une source de recettes (fiscales) nous permettant d’accompagner cette modernisation pour financer la restauration de notre voirie et de nos réseaux et la réalisation de nouveaux équipements comme l’Origami ou l’extension des écoles élémentaire et maternelle des Halbrans pour accueillir nos « jeunes pousses » de plus en plus nombreux.(Construction de 6 classes en 2020)
Cette évolution de notre commune sera totalement réussie si elle s’accompagne du « Bien Vivre Ensemble » grâce à l’intégration de chacun dans son quartier et dans la vie de sa commune.
Nous sommes bien sûrs tous acteurs de ce « Bien Vivre Ensemble » et il nous appartient de nous engager au sein du tissu associatif culturel et sportif , mais aussi au sein d’associations « solidaires » comme l’association des donneurs de sang ou le centre de soins infirmiers pour ne citer qu’elles. L’engagement au sein des associations des parents d’élèves (APEL, OGEC, FCPE et Amicale Laïque) est aussi un formidable vecteur de rencontres au service d’un projet commun.
Les récents moments festifs comme la Fête de la Bourie, l’élection « du Maire » de la rue du Plessis ou l’organisation des « boucles de l’Ognon » par l’association du village de la Bénétière sont autant d’initiatives à encourager puisqu’elles contribuent toutes à des moments de partage et de rencontres
La tranquillité publique, thème de la rentrée, est en cours de finalisation à travers la signature d’une convention entre le Préfet, le commandant de gendarmerie et le maire. Des référents de quartiers se sont portés volontaires pour organiser cette vigilance citoyenne collective. Ces relais citoyens s’inscrivent dans ce processus solidaire à l’échelle du quartier.
Se connaître est le 1er pas pour mieux se comprendre. Un grand merci à tous ceux qui s’investissent dans ces temps forts festifs et à tous ceux qui y participent.
Vivre dans une ville comme la nôtre, encore à taille humaine, est une chance. Il nous faut donc la saisir en devenant tous acteurs de notre « Bien Vivre Ensemble » pour réussir Pont Saint Martin.

Yannick Fétiveau
Maire de Pont Saint Martin

Transfert NDDL : Rencontre avec les médiateurs

Publié le Mis à jour le

évacuation_zadLe mardi 24 octobre, une délégation de l’association Sud Loire Avenir a rencontré les médiateurs à la Préfecture de Loire-Atlantique. Dominique Raimbourg, ancien député et président de l’association ; Jean-Claude Lemasson, maire de Saint Aignan de Grand Lieu ; Rodolphe Amailland, maire de Vertou ; Yannick Fétiveau, maire de Pont Saint Martin ; Jean-Marc Allais, adjoint délégué aux réseaux et à la transition énergétique et Gilles Rétière, ancien maire de Rezé ; tous membres du conseil d’administration ont une fois de plus plaidé la cause du transfert de l’aéroport Nantes Atlantique vers le site de Notre Dame des Landes.

Trois thématiques majeures abordées :

LE TRANSFERT : UNE CHANCE POUR LE GRANDOUEST AU COEUR D’UNE ÉCONOMIE DURABLE

Nous avons rappelé aux médiateurs que Notre Dame des Landes était une chance pour notre région, qui s’inscrit dans le cadre du développement du Grand-Ouest intégrant la Bretagne et les Pays de Loire.
Sous dimensionnées, les structures ne peuvent plus accueillir les 4 770 000 passagers dans de bonnes conditions de confort et de sécurité. Le dynamisme des métropoles de Rennes et de Nantes nécessitent des infrastructures en capacité d’absorber l’augmentation des vols et de passagers dans le cadre d’une économie durable liée aux échanges internationaux.
Les espaces de Nantes Atlantique sont aussi indispensables au développement de l’institut Jules Verne de Bouguenais et à l’arrivée de nouveaux logements sans consommation d’espaces agricoles. La fermeture d’Airbus n’est plus à craindre puisque l’usine est 4 rencontre avec les médiateurs désormais approvisionnée en pièces par la route ou par la Loire grâce à des barges. Le Grand-Ouest a besoin de cet aéroport pour rester concurrentiel face à Bordeaux, aujourd’hui à 2h de Paris en TGV.

LE TRANSFERT : AU NOM DE NOTRE SÉCURITÉ ET DE NOTRE SANTÉ

Le bruit affecte plus de 40 000 habitants. Le survol de la ville, audelà du danger potentiel lié aux risques de crash, est un fléau pour les habitants, notamment pour les enfants et les habitants de la commune de Saint Aignan, soumis au quotidien à des expositions
au bruit insupportables.
Les hydrocarbures constituent par ailleurs la principale source de pollution d’un aéroport et de son environnement au regard des retombées sur le sol (pollution diffuse) des particules issues de la combustion des carburants dans les réacteurs. Les composés sont toxiques et cancérigènes constituant un risque pour le milieu naturel et la santé humaine. L’article 5 de la charte de l’environnement de 2004 prévoit le principe de précaution en l’absence de certitudes.
L’effet cocktail des perturbateurs endocriniens sont au coeur des préoccupations de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé). « Il ne faut pas céder aux phobies, mais on déverse tous les jours dans l’atmosphère ou la chaîne alimentaire des centaines de molécules dont on ne mesure pas encore la potentielle gravité » explique le ministre Nicolas Hulot.

LE TRANSFERT : AU NOM DU RESPECT DE LA DÉMOCRATIE

Lors de la consultation, 55,17 % des ligériens se sont exprimés favorablement pour le transfert avec une participation record pour ce type de scrutin. Le crédit des élus à l’avenir passera par le respect du vote populaire et des engagements. Qu’on se le dise !
En amont de cette réunion, Yannick Fétiveau et ses adjoints ont été reçus le jeudi 12 octobre par les médiateurs. L’occasion de demander des garanties sur le risque potentiel d’une alternative intégrant une piste transversale proposée par les opposants à Notre Dame des Landes. La terre ayant la même valeur et l’environnement le même prix, il est vital pour notre commune de refuser l’inacceptable tant au niveau de l’évolution de la gêne sonore que de l’impact sur les terres agricoles : 260 ha d’acquisitions seraient nécessaires.
Le simple maintien de la piste actuelle peut aussi impacter notre agriculture et notamment le GAEC La Moricière qui exploite des terres agricoles sur Saint Aignan.
L’occasion de marteler également les risques d’asphyxie du réseau routier actuel totalement saturé en l’absence d’un schéma de mobilités et de transport intercommunautaires. Avec les 10 000 véhicules par jour sur la D65, le nombre de passagers évoluant de 5 à 7 millions, comment accueillir les 2 millions de passagers supplémentaires sur le périphérique, nos routes et notre bourg ?
Compte-tenu de l’expression des 62 % des Martipontains qui ont voté « oui au transfert », notre devoir d’élus majoritaires était de présenter sans ambigüité et avec force d’arguments, les enjeux communaux et territoriaux dans le cas d’un transfert ainsi que nos craintes envers une alternative souhaitée par le ministre de l’environnement, lequel, nous l’espérons, sera éclairé avec objectivité par l’expertise des médiateurs en charge de cette évaluation.

Les Jardins du Bourg, au service d’un vrai parcours résidentiel pour tous !

Publié le Mis à jour le

IMG_3284

Idéalement situé entre la rue de l’Ouche Cartière et la rue de Nantes, la future résidence « séniors » permettra à nos aînés de trouver  un habitat adapté,  à loyer abordable, au cœur du centre bourg, à proximité des services et des commerces.

Ces 17 logements seront réalisés par Atlantique Habitations qui a présenté son  projet lors du dernier comité consultatif. Un projet qui proposera aux futurs résidents des espaces partagés nécessaires au maintien du lien social.

La construction de ces 17 logements à loyers abordables, constitue une vraie  réponse  aux besoins des retraités aux revenus modestes et témoigne de  notre conviction à créer des logements accessibles au plus grand nombre, jeunes et moins jeunes.

Ces 17 logements à  loyers abordables viendront s’ajouter aux 30 logements du lotissement du Moulin Olive, aux 35 logements des Jardins de l’Abbaye à Viais et aux 13 appartements intégrés sur le site du 35 rue de Nantes.

Ces 4 opérations immobilières livreront 95 logements supplémentaires à loyers modérés, permettant ainsi à notre commune de doubler le nombre de logements dits « sociaux ».

Malgré cet effort significatif, démontrant à ceux qui pouvaient encore en douter notre détermination, nous resterons très éloignés de l’objectif SRU de 25% de logements sociaux.

La loi ALLUR  accélérant en effet le processus de constructions pavillonnaires grâce aux multiples divisions de parcelles.

Fiers de notre engagement au service de ce parcours résidentiel pour tous,  nous restons toutefois  déterminés à tenter de fédérer nos parlementaires et les services de l’état à un peu plus de discernement.

Cet objectif de 25 % est totalement disproportionné et inadapté à la taille et aux moyens de notre commune.

Nous n’avons en effet ni le foncier, ni les finances pour continuer une politique aussi volontariste dans les années futures.

A travers ces quatre opérations, nous aurons  consommé nos  « grands réservoirs » de logements du PLU et il nous sera très difficile au-delà de ce premier plan triennal de poursuivre cette progression

Bien que « bons élèves », nous resterons à la merci des pénalités impactant durablement notre budget. Une vraie injustice !

Yannick FETIVEAU

Maire – Ville de Pont Saint Martin

Un effort équitable, partagé par tous

Publié le Mis à jour le

solidarite-pro-bono

Lorsqu’on évoque les impôts et les taxes, les mots « justice sociale » sont souvent cités. Cette association, à raison d’ailleurs, freine souvent les décideurs à bouger les lignes : « ce qui est juste pour l’un ne l’est pas pour l’autre ».
Lors du dernier Conseil Municipal, la suppression de l’exonération de la taxe foncière pour les deux premières années suivant l’installation, a posé question et a généré un débat tout à fait légitime entre les élus; l’obstacle majeur étant de ne pas ralentir les ménages les plus modestes dans leur projet d’acquisition ou de construction. Sur ce sujet, il est difficile de légiférer et de placer le curseur sur un niveau de revenus « modestes » dans la mesure où l’attribution des prêts sociaux n’est pas exclusivement liée aux revenus.
Puisque l’on parle de justice, et donc d’équité, on peut aussi réfléchir à cette question sous un autre angle : l’évolution démographique surtout lorsqu’elle est rapide comme c’est le cas actuellement à Pont Saint Martin, nécessite des évolutions de nos infrastructures et services mis à disposition de chacun; anciens ou nouveaux habitants.
Dans un contexte où les ménages sont déjà suffisamment imposés, est-il plus juste d’augmenter la taxe des ménages déjà en place afin de compenser cette exonération ou au contraire est-il pertinent de demander aux nouveaux habitants de participer à l’effort collectif visant l’amélioration des équipements dont ils seront égalementbénéficiaires ?
Après de longs échanges, chaque argument ayant bien toute à sa place dans le débat, notre groupe ERPSM a voté cette deuxième option en ayant conscience des incidences que cela peut générer pour les uns, mais en voulant privilégier l’équité amenant chaque habitant à contribuer au service de notre communauté martipontaine.

Les élus majoritaires du groupe Ensemble Réussir Pont Saint Martin

L’intercommunalité : une force au service des Martipontains

Publié le Mis à jour le

« Chers Martipontains,

Idéalement située aux portes de la métropole et bénéficiant d’un cadre de vie agréable, notre commune jouit d’une très grande attractivité au sein du territoire de Grandlieu, un territoire à fort potentiel représentant plus de 37 000 habitants.

Notre communauté de communes, acteur essentiel du développement de bassin de vie, va tenir un rôle de plus en plus stratégique dans un contexte lié à la nouvelle organisation territoriale (loi NOTRe) pilotée par l’État.

Notre territoire administratif ne connaîtra pas de bouleversements majeurs, ce qui correspond à la volonté des élus (aucune création de commune nouvelle ni de fusion de communautés de communes). Toutefois, la « marche en avant » est enclenchée avec le schéma de mutualisation. Approuvé lors du conseil communautaire de décembre, cette feuille de route concertée nous dévoile toutes les perspectives de mutualisation des services ou des fonctions entre notre EPCI et les 9 communes membres. Ce schéma de mutualisation doit être développé en cohérence avec le projet de territoire en cours d’élaboration et en lien avec le pacte financier communautaire.

À travers cette co-construction, les élus municipaux et communautaires porteront collégialement leur vision de l’intercommunalité ; laquelle représentera, de plus en plus, la force de notre territoire. Dans ce contexte de baisse des dotations d’État, cette mutualisation est nécessaire pour continuer d’investir en minimisant les dépenses grâce aux regroupements des commandes publiques et en rationnalisant les moyens et les ressources. Encouragés financièrement par l’État, notre choix est sans ambigüité. Nous souhaitons accélérer le développement des atouts de notre communauté de communes notamment par la construction de nouveaux parcs d’activités économiques. Cette dynamique créatrice de richesse est vitale pour le

Réjouissons-nous, dans ce contexte, du commencement des travaux d’extension du parc d’activités de Viais au cours de l’été. »

Yannick Fétiveau
Maire de Pont Saint Martin

Dépôt de permis de construire : la démarche règlementaire d’instruction des dossiers ne supporte pas la moindre suspicion

Publié le Mis à jour le

Attachés à notre idéal républicain qui s’exprime à travers la devise « liberté, égalité, fraternité », nous vivons au quotidien dans un espace régi par des lois qui s’appliquent à tous. Dans ce contexte, les élus sont en charge de la mise en œuvre de ces principes républicains où l’intérêt public prime sur les intérêts particuliers.

La réalisation d’un ouvrage ou d’une construction comme celle de la rue du Vignoble peut nous interpeller. Il est donc légitime de vérifier s’il y a eu autorisation à construire. Il est tout aussi légitime de demander des explications à ceux et celles qui ont donné l’autorisation de construire afin de bien cerner et comprendre les points de règlements ayant permis la dite construction. Sans doute est-il moins légitime de laisser à penser que l’on ait pu donner un avis favorable qui puisse s’inscrire hors règlement. Restons sérieux !

Avant de donner un avis favorable, le maire ou son adjoint délégué s’appuie sur les règles du code de l’urbanisme et sur les zonages arrêtés dans le PLU et sur son règlement annexé. En amont, le dossier est instruit par des personnels experts qui décryptent la constructibilité à partir de l’acte déclaratif que représentent les pièces administratives déposées en mairie (Obligation règlementaire).

Gérer une commune n’est pas un jeu politique. C’est un engagement fort. Sans doute est-il urgent de respecter les élus en responsabilité afin de générer de la confiance en notre démocratie. Une condition sine qua non si l’on souhaite que chaque citoyen reprenne le chemin des urnes.

Et vous : qu’en pensez-vous ?

Les élus du groupe

Ensemble Réussir Pont Saint Martin

Bilan de mandat 2008-2014

Publié le Mis à jour le

UN MANDAT RICHE DE REALISATIONS ET

D’ACTIONS POUR TOUS LES MARTIPONTAINS 

« L’homme au cœur des projets : c’est ce qui guide depuis des années les réflexions et les décisions de vos élus. Ce sont les valeurs de respect de chacun, de tolérance, de solidarité, d’équilibre et d’équité (entre les écoles, etc.) qui portent l’ensemble de notre action.
Dans ce support, vous découvrirez les évolutions de votre commune pendant ces six dernières années. Jamais aucun mandat n’a été aussi riche de nouveaux services et de nouveaux équipements publics à votre service. Tous ces services et équipements ont été créés au regard d’un projet clair, solidaire, construit collectivement, avec des actions répondant aux besoins prioritaires, recensés avec vous tous, lors d’entretiens et de réunions de quartiers et de villages.
Vos élus sont et seront toujours à votre disposition pour poursuivre demain ces échanges qui permettent de réussir ensemble Pont Saint Martin. C’est pour nous notre seule priorité. Ce sera aussi celle de Yannick Fétiveau, 1er adjoint, qui, fort de son expérience acquise lors de ses mandats, conduira et animera la prochaine liste «ensemble réussir Pont Saint Martin» pour les années 2014/2020, dans la poursuite des valeurs humanistes que vous avez appréciées et qui ont portées nos actions et nos réalisations. Il apportera avec son équipe renouvelée une nouvelle dynamique. »

Yves François, maire sortant, groupe majoritaire ERPSM

Retrouvez notre bilan de mandat en cliquant sur notre couverture :

Bilan mandat

Si la fenêtre ne s’ouvre pas correctement cliquez sur le lien suivant : Bilan mandat